Le peintre, né en 1945 à Nice où ses parents sont coiffeurs, reçoit à l’âge de 12 ans, en récompense à ses bonnes notes en dessin à l’école, un cadeau déterminant de la part de son père, sa première boîte de peinture à l’huile ! Il commence alors à peindre sur des morceaux de bois exhibés fièrement par papa dans le petit salon de coiffure. Un client artiste peintre (grand prix de Rome) de passage à Nice, lui prodigue quelques conseils élémentaires, ce fut la rencontre providentielle…
Sous son regard attentif, il réalise sa première toile d’après nature, dans les jardins du monastère de Cimiez. Cet artiste lui apprend l’ordre d’un tableau dans la nature, lui ordonne la suppression du noir et du vert l’obligeant à créer lui-même les couleurs.
Ces quelques bases le dirigent dans cet art inconnu dont il ressent la nécessité… dès l’âge de 14 ans, il arpente seul les musées de sa ville ! Ebahi, il découvre les grands peintres, les différences de styles et de techniques…il prend conscience qu’il doit se libérer des contraintes de son initiation classique indispensable mais parfois trop rigoureuse.
Sa tante lui fait alors un cadeau inattendu : un album sur Van Gogh ! Fasciné par le mouvement et les couleurs, il s’empresse de reproduire un tableau du maître qu’il réussit à sa grande surprise !
Comme les adolescents de son âge, il joue aussi au baby foot, adore le rock and roll et le football qu’il pratiquera jusqu’à l’âge de 40 ans puis vient la passion du tennis qui ne l’a pas quitté à ce jour…En effet, à 74 ans, licencié au club de Paray Le Monial, il dispute encore de nombreuses compétitions dans les tournois de la région !
Mais revenons à la peinture qu’il délaisse à l’âge de 19 ans car il se marie et rentre dans la vie active (son métier de chauffeur de taxi lui permet des rencontres fantastiques et des conversations enrichissantes, en autres avec le peintre Botéro à Monte-Carlo, le pilote jean Alesi, Michel Berger ou encore France Gall).
Ce n’est qu’à la retraite qu’il s’adonne intensivement à sa passion La sagesse de l’âge le rend plus patient, persévérant, et c’est ainsi qu’il progresse en autodidacte. Il précise qu’il ne peint qu’à l’huile car « il aime son odeur et le fait qu’on peut toujours revenir dessus ».
A Nice, il exposait sur la célèbre place Garibaldi, lieu d’échange entre peintres. Aujourd’hui c’est à Digoin, où il s’est installé depuis 5 ans « par besoin de calme et de nature ».
La diversité des thèmes qu’ il aborde ne marche qu’ aux coups de cœur…des paysages sur sites, des souvenirs de vacances d’après photographies ou encore des copies de sujets qui l’inspirent.
« La peinture c’est facile, il suffit de regarder l’eau, le ciel, les fleurs, les arbres et de les reproduire »
Le peintre, né en 1945 à Nice où ses parents sont coiffeurs, reçoit à l’âge de 12 ans, en récompense à ses bonnes notes en dessin à l’école, un cadeau déterminant de la part de son père, sa première boîte de peinture à l’huile ! Il commence alors à peindre sur des morceaux de bois exhibés fièrement par papa dans le petit salon de coiffure.
Un client artiste peintre (grand prix de Rome) de passage à Nice, lui prodigue quelques conseils élémentaires, ce fut la rencontre providentielle…
Sous son regard attentif, il réalise sa première toile d’après nature, dans les jardins du monastère de Cimiez. Cet artiste lui apprend l’ordre d’un tableau dans la nature, lui ordonne la suppression du noir et du vert l’obligeant à créer lui-même les couleurs.
Ces quelques bases le dirigent dans cet art inconnu dont il ressent la nécessité… dès l’âge de 14 ans, il arpente seul les musées de sa ville ! Ebahi, il découvre les grands peintres, les différences de styles et de techniques…il prend conscience qu’il doit se libérer des contraintes de son initiation classique indispensable mais parfois trop rigoureuse.
Sa tante lui fait alors un cadeau inattendu : un album sur Van Gogh ! Fasciné par le mouvement et les couleurs, il s’empresse de reproduire un tableau du maître qu’il réussit à sa grande surprise !
Comme les adolescents de son âge, il joue aussi au baby foot, adore le rock and roll et le football qu’il pratiquera jusqu’à l’âge de 40 ans puis vient la passion du tennis qui ne l’a pas quitté à ce jour…En effet, à 74 ans, licencié au club de Paray Le Monial, il dispute encore de nombreuses compétitions dans les tournois de la région !
Mais revenons à la peinture qu’il délaisse à l’âge de 19 ans car il se marie et rentre dans la vie active (son métier de chauffeur de taxi lui permet des rencontres fantastiques et des conversations enrichissantes, en autres avec le peintre Botéro à Monte-Carlo, le pilote jean Alesi, Michel Berger ou encore France Gall).
Ce n’est qu’à la retraite qu’il s’adonne intensivement à sa passion La sagesse de l’âge le rend plus patient, persévérant, et c’est ainsi qu’il progresse en autodidacte. Il précise qu’il ne peint qu’à l’huile car « il aime son odeur et le fait qu’on peut toujours revenir dessus ».
A Nice, il exposait sur la célèbre place Garibaldi, lieu d’échange entre peintres. Aujourd’hui c’est à Digoin, où il s’est installé depuis 5 ans « par besoin de calme et de nature ».
La diversité des thèmes qu’ il aborde ne marche qu’ aux coups de cœur…des paysages sur sites, des souvenirs de vacances d’après photographies ou encore des copies de sujets qui l’inspirent.
« La peinture c’est facile, il suffit de regarder l’eau, le ciel, les fleurs, les arbres et de les reproduire »
Roger Schlichter.